Normalisation avec l’entité sioniste : Et si le tourisme sexuel était la cause cachée
André Gide, prix Nobel de la paix, ne croyait pas si bien dire en écrivant son fameux livre « les nourritures terrestres ».
Seuls le ventre et le bas ventre sont un leitmotiv dans la conduite des hommes. Surtout en diplomatie.
Cette fois, c’est un journal sioniste, ayant pignon sur rue, qui nous le dit.
« Herodot-Aharonot », journal le plus lu dans les territoires occupés palestiniens, tire lui aussi la sonnette d’alarme, en dépit des avantages obtenus de cette normalisation entre certaines monarchies arabes et l’entité sioniste.
Ce journal, en effet, tire la sonnette d’alarme sur le fait que l’ouverture des terres des Emirats et d’autres encore serve, surtout, à offrir aux jeunes, et aux vieux, Israéliens, une sorte de tourisme sexuel low-coast.
Les peines prévues, en effet, sont insignifiantes, au regard des crimes commis. A l’appui de ses craintes, le Journal sioniste, que l’on ne peut accuser d’avoir un parti-pris, «énonce un florilège d’exemples tous plus accablants les uns que les autres.
S’il est à craindre que Dubaï devienne la nouvelle capitale du tourisme sexuel à la faveur de cette normalisation, il est certain que c’est le Maroc qui va recueillir la palme, sachant que le royaume de Mohamed VI est déjà devenu tristement célèbre en livrant, sans vergogne ses propres enfants aux délinquants sexuels de tous poils et de tous acabits.
Ali OUSSI