L’élection du 12 décembre 2019 en Algérie, était porteuse d’espoir à plus d’un titre, après une période de flottement et d’incertitude.
Cette échéance avait été reportée pour diverses raisons, exposant alors l’Algérie à des lendemains incertains et à des manœuvres politiciennes aggravées par des velléités d’ingérence étrangère visant à remettre en cause la stabilité et la souveraineté de l’Algérie.
Dans la perspective de l’avènement de cette Nouvelle République, Abdelmadjid Tebboune a souligné le jour de la prestation de serment, que l’Algérie avait besoin d’établir des priorités.
Dans ce contexte, il a affirmé que l’Etat sera à l’écoute des “aspirations profondes” du peuple, notamment pour une “nouvelle gouvernance, l’Etat de droit, la justice sociale et les libertés démocratiques”.
Deux après, les acquis réalisés sont là, pour rappeler à tout un chacun de nous, que le pays aujourd’hui, prend en effet, des mesures réfléchies pour un changement radical et inclusif, à travers le renouvellement de l’édification institutionnelle et la reconsidération de la volonté populaire de manière à rétablir la confiance entre le citoyen et les instances de l’Etat mais également à instaurer un état de droit.
L’Algérie entretient également, de l’avis de tous, une relation d’égal à égal avec tous les pays dans le cadre du respect mutuel et les intérêts commun, une Algérie souveraine qui ne renonce pas à ses principes ancrés et qui est convaincue de l’importance d’organiser un référendum libre et transparent à travers lequel le peuple sahraoui décide de son avenir, tout en permettant au peuple palestinien d’établir son Etat indépendant ayant pour capitale Al Qods
En se lançant dans la bataille électorale en 2019, comme le candidat du changement, Abdelmadjid Tebboune, savait mieux que quiconque, que les défis du président qui sortira des urnes seront immenses, voire “monstrueux”.
Tout est à reconstruire, à commencer par la confiance.
Abdelmadjid Tebboune, qui n’est pas arrivé au pouvoir sur un mensonge, a été brillamment élu par un peuple sidéré par des années de délinquance politique et économique, par des années de vulgarité et d’immoralité, n’a pas vendu des chimères durant sa campagne, il a pris des engagements qui se sont concrétisé pour la plupart.
Le président Abdelmadjid Tebboune, qui est au manettes depuis plus de deux ans, incarne un type nouveau de leader.
Avec une grande maîtrise de soi, une forte popularité, une forte personnalité qui dégage à la fois un charisme et une grande humilité lui ont permis d’imposer un nouveau style de Présidence. Ce style de leadership inspire les Algériens, et suscite l’adhésion de tous.
Le président réformateur qui casse tous les codes, est un rassembleur né, ouvert sur le monde, à l’écoute permanente de son peuple, qui transcende les éternels clivages, est aux antipodes de anciens paradigmes caractérisés par du mépris, de l’arrogance et la certitude d’avoir toujours raison.
Avec son style, le président a fait bouger les lignes et même les plaques tectoniques sur la scène nationale, et a imposé la voix de l’Algérie à l’international. Aujourd’hui, l’Algérie est un pays pivot.
Les faits et chiffres en vigueur depuis l’avènement de l’ère Tebboune et qu’on appelle la “vérité ” pour un président, ont balayé tous les slogans creux.
C’est aussi ça le style Tebboune, le bien être du citoyen d’abord et avant tout autre chose…
En ce sens, l’élection du 12 décembre a permis aux Algériens de renouer avec l’espoir, d’autant plus que le nouveau président de la République a prôné, dès son investiture, un discours rassembleur à travers lequel il a exclu toutes formes de marginalisation ou d’exclusion, annonçant, entre autres, la révision profonde de la Constitution et la poursuite de la lutte contre la corruption.
La Patrie News