Excédé par les trop nombreux commentaires malsains et malveillants distillés t commandités par les courants proches du RCD et du MAK, l’ancien conseiller du premier secrétaire du FFS, Samir Bouakouir afin que les gens finissent par se mettre en tête une bonne fois pour toute que ce poste n’implique aucune fonction dirigeante ou exécutive au sein des instances dirigeants du parti de Hocine Ait Ahmed.
« Bien que la fonction de « Conseiller du 1er Secrétaire du FFS » n’est aucunement une fonction dirigeante, certains énergumènes, sans culture politique, guidés par de petites ambitions et manipulés par des officines, persistent à instrumentaliser mes interventions pour tenter de provoquer des divisions au sein des instances dirigeantes ».
u, pareil travail de sape est particulièrement porteur et efficace sur les réseaux sociaux, où la plupart des abonnés, manquant de culture sont facilement manipulables, ce qui crée des risques de division au sein de la base militante de ce parti qui, désormais, fait affreusement peur à ces nageurs en eau qui ont fait de la division et de l’implosion du pays un tacite pari. Pour Bouakouir, « Ni la cohésion du parti, encore moins l’intérêt du pays, ne semblent constituer un souci pour eux.
Aussi, j’ai décidé de renoncer à ce titre de « Conseiller du Premier secrétaire du FFS » car en aucune manière je n’accepterais d’être contraint dans mes propos. Ma liberté de pensée, d’écrire et d’agir est, à mes yeux, beaucoup trop précieuse ».
Réduire au silence un homme dont la préciosité et la pertinence des analyses ont été un phare pour beaucoup de patriotes est une grave atteinte à la démocratie et à la liberté d’expression. Fort heureusement, le silence volontaire et très responsable de Samir Bouakouir ne devrait certainement pas s’éterniser, à voir la célérité avec laquelle la situation évolue en Algérie. Ce ne sera donc qu’un au-revoir…
Mohamed Abdoun