Attaques contre les proches du président : A qui cela profite-t-il ?
« Qui fait un mauvais procès d’intention, ouvre la voie à la diffamation », disait Serge Zeller.
En effet. Certains, en font même leur « sport favori ».
C’est le moins que l’on puisse dire de ceux qui passent le plus clair de leur temps à dénigrer des personnes, des cadres, pourtant connus pour leur intégrité, leur dévouement, leur loyauté et leur fidélité.
En effet, depuis que le président de la République Abdelmadjid Tebboune est hospitalisé, ses proches collaborateurs sont les cibles d’attaques mensongères qui ne profitent qu’aux ennemis de la stabilité de l’Algérie.
Loin de toute vérité, des histoires sont montées de toutes pièces dans le but de porter atteinte aux personnes bénéficiant de la confiance du président et la méritant, notamment le SG et des deux Conseillers de la présidence
La loyauté et l’intégrité de ceux-là, n’est vraisemblablement pas du goût des habitués de la pêche non seulement en eaux troubles, mais aussi dans les marécages.
Dans la plupart des cas, même leurs familles respectives, sont prises à partie. L’on tire sur tout ce qui bouge.
Le premier à subir ces tirs croisés est Mohamed El Amine Messaïd.
Considéré comme l’homme de confiance et bras droit du président de la République, Mohamed Amine Messaïd était le directeur de la campagne électorale du candidat Tebboune.
En août 2017, Mohamed Amine Messaïd occupait le poste le chef de cabinet de Tebboune, alors Premier ministre. Signe d’un soutien infaillible, il préfère remettre le tablier lui aussi, au lendemain du départ de Tebboune de la chefferie du Gouvernement.
Haut cadre de l’État algérien, Messaïd a occupé différents postes de haute responsabilité au sein du ministère des Finances. Profitant de la maladie et de la convalescence du président qui l’ont retenu hors du pays », de mauvaises langues ont ciblé Mohamed Amine Messaïd.
L’on est allé jusqu’à dire qu’il avait été tout simplement « écarté » de son poste. Faux. La réponse à ces allégations est venue très forte lorsque Mohamed Amine Messaid a assisté à la cérémonie de la signature de la Loi de finance 2021 par le président de la République, un signal fort qui a remis les choses à leurs places.
Se rendant à l’évidence que l’homme est aussi blanc que neige, donc irréprochable, c’est son fils qui devient la cible d’attaques virulentes.
Heureusement que de hauts cadres de la présidence, connaissant trop bien Messaid, assurèrent à tous que ce n’était là qu’affabulations destinées à porter atteinte à l’image d’un des plus proches collaborateurs du président et semer la zizanie au sein de l’équipe présidentielle.
Dans l’entourage direct, du président de la République, citons également son conseiller Abdelhafid Allahoum.
C’est un autre homme fidèle qui n’a pas lâché Tebboune durant les moments « difficiles » vécus durant l’été 2017. Ce qui n’est pas du tout étonnant d’un descendant d’une famille de révolutionnaires mais qui n’a pas échappé ‘aux langues acérées’ de certaines parties qui ont intérêt à saborder tout ce qui mènera l’Algérie vers le meilleur.
Député entre 1982 et 1987, Allahoum faisait partie du staff de campagne de Tebboune avant d’être désigné conseiller à la présidence et chargé des relations extérieures.
Tout comme Boualem Boualem qui est conseiller aux affaires juridiques et judiciaires.
C’est un ancien magistrat qui a notamment dirigé l’Organe national de prévention et de lutte contre les infractions liées aux technologies de l’information et de la communication.
Ces attaques interviennent en des moments cruciaux pour l’Algérie, au moment où le président se trouve à l’étranger pour des traitements médicaux, des attaques qui ciblent des hommes probes, connus pour leur attachement à leur patrie, proches du Président et qui sont en train de maintenir la barre du bateau Algérie dans la bonne direction.
Ces attaques, en ces temps difficiles, ciblent aussi directement le président de la république, pour essayer de discréditer ceux en qui il a confiance et semer le doute dans l’esprit de ceux qui n’ont pas une personnalité assez forte.
L’Algérie a connu des moments autrement plus difficiles, des trahisons plus grandes, des dénigrements qui ont touché l’ensemble de ses citoyens, mais elle a su se relever et prouver au monde entier que ses enfants sont toujours là, qu’ils l’aiment, la défendent et portent très haut ses couleurs. La révolution de novembre n’est pas très loin et beaucoup de ses acteurs sont encore là.
Quoi qu’il en soit, aucun mensonge n’est eternel. La vérité finit toujours par rayonner….
D.A